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lundi 5 novembre 2018

Une octogénaire agressée pour son sac à Saint-Quentin


Une dame de 84 ans a été victime d’une tentative de vol à l’arraché vendredi en début d’après-midi rue de Mulhouse à Saint-Quentin. L’octogénaire a résisté et n’a pas lâché son sac. Projetée au sol, elle souffre d’une fracture du coude et de plusieurs hématomes au visage. Les faits se sont passés rue de Mulhouse devant le bar le Longchamps. Les clients de l’établissement sont intervenus et ont poursuivi les deux suspects avant de les intercepter quelques rues plus loin. Tous les deux ont été placés en garde à vue. Le mineur a été placé en détention provisoire en attendant son jugement. Quant au majeur, un Saint-Quentinois de 20 ans, il a été jugé ce lundi après-midi en comparution immédiate.

Devant les juges, il a assuré qu’il ne savait rien des intentions de son ami et qu’il n’avait pas pris part au vol. Déjà condamné pour des faits similaires il assure avoir pris peur est s’être sauvé de peur que les policiers ne le croit pas. Les juges, eux, ont cru à sa version et il a été relaxé malgré les demandes du parquet qui voulait le condamner à de la prison ferme. ………….  LIRE DANS LE JOURNAL 'AISNE NOUVELLE …………  Une octogénaire agressée pour son sac à Saint-Quentinhttp://www.aisnenouvelle.fr/80740/article/2018-11-05/une-octogenaire-agressee-pour-son-sac-saint-quentin

jeudi 24 mai 2018

Il renverse un piéton et frappe une passante

Le conducteur d’une automobile a renversé un piéton d'environ 60 ans vers 17 h dans le quartier gare à Saint-Louis. Selon les premiers éléments recueillis sur place, il serait alors sorti de sa voiture et aurait agressé des passants, dont une femme de 19 ans. Blessée, cette dernière a été transportée par les pompiers à la clinique des Trois Frontières. L'agresseur s'est ensuite retranché dans un appartement voisin. Les forces de l’ordre se sont rendues sur place en nombre et ont pu interpeller le forcené à 18 h 10.
Gravement blessé, l'homme renversé par la voiture a été conduit à l'hôpital Emile-Muller de Mulhouse.
Faits divers https://www.dna.fr/faits-divers

dimanche 20 mai 2018

Marseille : il tente de tuer sa mère en pleine partie de pêche

C'est une tentative de crime bien peu banale qui est survenue hier soir, vers 22 heures, sur une digue au niveau de Cap Croisette, aux Goudes (8e). Alors qu'ils pêchaient ensemble, un homme de 37 ans s'est soudainement mis à frapper sa maman, âgée de 70 ans, avec le pied en métal qui lui servait à caler sa canne à pêche. Puis, il a tenté de la noyer. La dame, blessée au cou, aux bras et au dos, a été hospitalisée en urgence mais son pronostic vital ne serait pas engagé. À l'arrivée des policiers, le fils attendait tranquillement près d'elle. Il a été interpellé sans difficulté. On ne sait pour l'heure pas la raison de ce déferlement de violence. La brigade criminelle de la sûreté départementale a été saisie de cette affaire

jeudi 29 mars 2018

Varces : une voiture fonce sur des militaires à proximité de la caserne. des recherches en cours

hebergement d'image

Aux alentours de 9 heures, jeudi 29 mars, le conducteur d'une voiture a volontairement foncé sur des militaires, à proximité de la caserne de Varces-Allières-et-Risset. Il n'y a pas de blessé
Jeudi 29 mars, une voiture a foncé sur des militaires, à proximité de la caserne de Varces-Allières-et-Risset, en Isère. Il n'y a aucun blessé, selon une information du Dauphiné Libéré, confirmée par RTL.

Après avoir tenté de renverser un premier groupe de militaires et insulté - sans revendication terroriste - un deuxième, le conducteur a pris la fuite au volant de sa voiture. Il est activement recherché
dans le sud de l'agglomération grenobloise. Les autorités locales, interrogées par le quotidien régional, estiment qu'"il est encore trop tôt pour affirmer qu'il s'agit d'une tentative d'attentat".
Isèrehttp://www.rtl.fr/sujet/isere

mercredi 21 mars 2018

Il passe par la fenêtre pour arracher le collier d’une vieille dame

Du jamais vu à Verdun. Lundi vers 19 h 45, un individu a brisé une fenêtre du rez-de-chaussée d’une maison de la rue Saint-Louis. Il a ensuite pénétré dans l’habitation où se trouvait une vieille dame de 89 ans. L’homme lui a immédiatement sauté dessus pour lui arracher le collier qu’elle portait autour du cou.
Dans la violence de l’attaque, la vieille dame a chuté sur le sol. Et l’agresseur qui n’était pas encagoulé et qui n’avait pas d’arme, s’est immédiatement enfui par la porte de la maison. Si des arrachements de bijoux se produisent, les faits se déroulent toujours sur la voie publique. Le mode opératoire de lundi soir semble tout à fait inédit à Verdun.
La vieille dame a été transportée à l’hôpital de Verdun où elle se trouvait toujours mardi matin. Si la victime est blessée, elle est aussi très choquée psychologiquement.
Les policiers du commissariat de Verdun ont procédé aux constatations et sont chargés de l’enquête.
Il passe par la fenêtre pour arracher le collier d’une vieille damehttps://www.estrepublicain.fr/edition-de-verdun/2018/03/20/il-passe-par-la-fenetre-pour-arracher-le-collier-d-une-vieille-https://www.estrepublicain.fr/edition-de-verdundamehttps://www.estrepublicain.fr/edition-de-verdun

lundi 12 mars 2018

Ivre, il attaque son ami à coups de barre de fer

Sept jours d'ITT (incapacité temporaire de travail). Voilà le résultat de la soirée qui a dégénéré lundi, à Stenay.
Les faits se sont déroulés entre 18h et 20h. Un groupe de jeunes d'une vingtaine d'années, tous plus ou moins proches, passait la soirée ensemble. Puis le ton est monté entre deux jeunes hommes, jusqu'à en venir aux mains. Les deux étaient alcoolisés, et au cours de la dispute, l'un des deux garçons, un Stenaisien de 20 ans, s'est emparé d'une barre de fer et a assené deux coups sur la tête de l'autre garçon, âgé de 23 ans et lui aussi originaire de Stenay.
L'auteur des coups a été arrêté mercredi sur son lieu de travail à Verdun, par les gendarmes de la communauté de brigades de Dun-sur-Meuse, chargés de l'enquête. Il a aussitôt été placé en garde à vue. Le jeune homme a été déferré au parquet jeudi matin, avant d'être remis en liberté sous contrôle judiciaire. Il est convoqué devant le tribunal le 16 juin.
D'ici là, il a obligation de soins, interdiction de rentrer en contact avec la victime et de détenir une arme, il doit aussi se présenter à la gendarmerie une fois par semaine.
Il est poursuivi pour violence volontaire avec arme ayant entraîné une incapacité de travail de moins de huit jours, mais aussi pour outrage à personne dépositaire de l'autorité publique, suite à son comportement envers les magistrats et les gendarmes après son arrestation.
https://www.estrepublicain.fr/edition-de-verdun

dimanche 11 mars 2018

Coups de feu sur leur maison, camion incendié : une famille prise pour cible à Belfort

« Dans la nuit de jeudi à vendredi, à 0 h 50, on a été réveillé par un grand “boum”», raconte Nabila, qui habite une petite maison au 6 de la rue du Sentier, dans le quartier de la Méchelle, à Belfort. « En regardant par la fenêtre, on a vu que la cabine de notre camion-plateau était en feu. »
Les pompiers sont aussitôt appelés sur place, suivis par la police. Le camion a été entièrement détruit par les flammes. La voiture qui se trouvait sur le plateau, et appartenait à un ami de la famille, a, elle aussi, était endommagée par le feu.
« Lorsque nous avons fait le tour avec la police, nous avons découvert que le bruit provenait d’un impact de balle dans la vitre de notre entrée », ajoute la propriétaire. Le projectile est venu s’encastrer dans le bois de la penderie située en face.

Une première tentative une heure avant

« Nous habitons dans cette maison depuis 2002, nous n’avons jamais reçu de menaces et nous n’avons de problème avec personne », poursuit la mère de famille, à la fois « choquée » et en « colère » après avoir été prise pour cible par des inconnus. « Il y a quatre ou cinq ans, on nous avait crevé les pneus. Depuis, on avait installé des caméras. » La vidéo est explicite. On y découvre trois individus. L’un, à peine caché par une capuche tient une arme de poing délibérément braquée vers la maison, tandis que les deux autres aspergent d’essence le camion avant d’y mettre le feu.
« En regardant le film, j’ai découvert qu’ils avaient déjà essayé de faire brûler le camion une heure avant, mais ça n’avait pas pris. »
Depuis cette terrible nuit, Nabila retourne tout en boucle dans sa tête pour tenter de comprendre. « J’ai quatre enfants de 9, 10, 15 et 18 ans. Nous n’avons jamais eu de problème avec personne. » Alors, pourquoi cette famille « ordinaire » et sans histoire a-t-elle été visée ? « J’aimerais connaître le lien… », soupire Nabila. « Si c’était un règlement de compte ou des représailles, il faudrait qu’il y ait un différend ! » Dans les petits immeubles en face du pavillon, le trafic de stupéfiant à peine dissimulé, pourrait apporter une réponse.
La famille, qui a reçu de nombreuses visites de voisins et proches émus et choqués, a été fortement « perturbée » par ces violences. « Heureusement que personne n’a été blessé ou brûlé. Mon fils s’est levé pour aller aux toilettes à 23 h 30. Comment imaginer dormir tranquillement et risquer de se faire tuer ? »
Vendredi, elle a porté plainte pour destruction d’un bien et violence avec usage ou menace d’une arme. La police technique et scientifique a effectué divers relevés sur place mais le commissariat se refuse à tout commentaire.


mardi 6 mars 2018

Paris: ils scalpent un homme puis lui coupent un bras et une main

Hier vers 21h30, dans un restaurant de la rue Caille, dans le Xe arrondissement de Paris, deux individus ont arraché le cuir chevelu d'un homme puis lui ont ensuite coupé une main et un bras rapporte RTL.
Armés d'un sabre et d'une machette, les deux hommes sont entrés cagoulés hier dans un restaurant parisien pour scalper un homme. Ils lui ont ensuite coupé une main et un bras. Le pronostic vital de la victime, un Sri-Lankais de 35 ans, est engagé. Ses deux bourreaux sont eux aussi de nationalité sri-lankaise. D’après une source policière, il s’agirait d’un règlement de comptes.
Paris: ils scalpent un homme puis lui coupent un bras et une mainhttp://www.lefigaro.fr/flash-actu/2018/03/06/97001-20180306FILWWW00045-paris-ils-scalpent-un-homme-puis-lui-coupent-un-bras-et-une-main.php

lundi 26 février 2018

En garde à vue après avoir essayé d’écraser un gendarme

Le contrôle de gendarmerie a failli tourner au drame dans la nuit de samedi à dimanche à Besançon.
Un automobiliste alcoolisé n’a visiblement pas apprécié de devoir passer un contrôle d’alcoolémie en fin de nuit. Il a essayé de s’échapper. Il a fait vrombir son moteur et a tenté de démarrer en force. Un gendarme de la brigade de Tarragnoz a failli être renversé. Il a évité le pire en ayant le réflexe de se jeter sur le bas-côté.
Très vite, les gendarmes ont rattrapé et maîtrisé le chauffard qui, au final, s’est payé un accident au lieu de coopérer. Il a été directement dirigé sur l’hôpital pour être soigné. Il a été placé en garde à vue ce dimanche.


mardi 20 février 2018

Besançon : il étrangle son ex-femme en pleine nuit, leur fille intervient

Histoire si classique, qu’elle en est tragique… Malkhaz Adjiev comparaît ce jour-là devant le tribunal de Besançon pour violences et menaces de mort réitérées sur conjoint. Le prévenu affiche une mine contrite. Un regard désolé. Incarnant à perfection le rôle du repenti.
À ses côtés son ex-femme - qui a retiré sa plainte « car les enfants ne veulent pas que leur père aille en prison » - minimise l’enfer qu’elle a vécu cette nuit du 17 novembre 2017 à Besançon. « Le problème, c’est la drogue. On est divorcé à cause de ça, mais je l’aime toujours. Avant ça, on n’avait jamais eu de problème avec lui », dit-elle de sa petite voix. Les juges s’en étonnent. Dans la procédure sont évoquées des violences habituelles. « Des petites gifles au visage, ce n’était pas de la violence, plutôt de la colère quand on se disputait », corrige Madame.

« Je ne sentais plus mes bras, je n’avais plus de force, je me suis dit que c’était la fin… »

Malaise en salle d’audience. La présidente du tribunal reprend les déclarations de la victime faites en audition, qui décrivent la scène clé de manière glaçante. « Il est entré en pleine nuit dans ma chambre et m’a mis l’oreiller sur le visage. Il me disait’’je vais te tuer’’, ’’je m’en fous d’aller en prison’’. Je l’ai poussé avec ma jambe droite, on est tombé du lit, mais il s’est relevé plus vite que moi », expliquait-elle alors. « Il m’a étranglé au niveau du cou. Il avait un drôle de regard. Je ne sentais plus mes bras, je n’avais plus de force. J’ai pensé à mes enfants, je me suis dit que c’était la fin… ». Réveillée par le vacarme, leur fille jaillit soudain dans la chambre, stoppant net la fureur meurtrière de son père.
La présidente du tribunal s’adresse au mis en cause : « Je ne sais pas si vous vous rendez compte de la puissance mortelle qui était dans vos mains à ce moment-là. Si vos enfants avaient eu un sommeil plus lourd, vous seriez devant une cour d’Assise ». Pour meurtre. Pour féminicide, même si ce terme n'existe pas en tant que tel aux yeux de la loi.

Un dossier « symptomatique »

Yolande Rognard déplore également « le conflit de loyauté » qui encourage Madame à défendre son ex-époux : « C’est une chose de l’aimer, c’en est une autre de dire la vérité. Il faut mettre votre ex-mari devant ses responsabilités. En France, une femme meurt tous les trois jours sur son carrelage ou dans sa chambre des mains de celui qu’elle a choisi comme compagnon ».
« C’est un dossier symptomatique », prolonge le procureur de la République Christian Molé, « avec une inversion des rôles, et une victime qui culpabilise de dénoncer les faits ». L’avocat de la défense Me Vernier, s’il ne « conteste pas les violences », note « une volonté d’en rajouter » qui lui est « désagréable ».
Le ministère public avait requis un an de prison dont quatre mois de sursis, les juges sont finalement allés bien au-delà : Malkhaz Adjiev écope de deux ans de prison, dont six mois avec sursis.


jeudi 15 février 2018

Il menace d’égorger son petit frère

« Mon fils m’a frappée, c’est la première fois. Il a été pris d’un coup de folie », déclare l’habitante. Vers 2 h 20, le 10 février, les policiers sont requis pour un différend familial. Dans l’appartement désigné, ils découvrent une femme au visage tuméfié. Des hématomes sont également visibles sur son poignet gauche, ses coudes. La Montbéliardaise est paniquée.
Le fils aîné de la Montbéliardaise, connu de la justice, s’est énervé car elle refusait de lui prêter les clefs de sa voiture : « Je ne voulais pas. Il n’a pas le permis. » Alors le jeune homme l’a rouée de coups de poing et de pied. Un autre de ses fils, un adolescent, a tenté de protéger sa mère. « Il l’a bousculé », indique la victime. Le petit dernier, 8 ans, s’est réveillé. Il a fait irruption en pyjama, pieds nus dans le salon : « Mon grand fils l’a menacé. Il lui a mis un couteau sous la gorge. Il m’a dit : “Donne-moi les clefs sinon je l’égorge !” Et il est parti en emmenant le petit. »
La plaque d’immatriculation de la voiture est diffusée à toutes les patrouilles. La situation est anxiogène, explosive. Mais elle s’apaise – heureusement – au bout de quarante minutes. Le Montbéliardais de 18 ans s’est arrêté chez son oncle dans une ville voisine et y a déposé le pauvre bambin. Le tonton ramène l’enfant chez sa maman, qui prévient les forces de l’ordre. Il s’engage aussi, auprès des policiers, à leur ramener le fils indigne dans les jours qui suivent. Le Doubien a respecté sa promesse.
Mardi, l’homme et son neveu se sont présentés au commissariat. L’agresseur présumé a été placé en garde à vue. Aux enquêteurs, il a donné sa propre version des faits, accablante pour la maman : « Il lui a tout mis sur le dos, a renversé la situation. La famille est traumatisée », précise un officier.
Ce mercredi matin, le Montbéliardais a été déféré au parquet et placé sous contrôle judiciaire. En attendant son jugement (pour violences sur ascendant), il a l’obligation de résider chez sa grand-mère dans une commune proche de la cité des Princes. Il lui est interdit de se présenter au domicile familial, d’entrer en contact avec sa mère et ses frères.


vendredi 9 février 2018

Menaces, injures, vols et squats : le ras-le-bol du personnel du Relay de la gare

Le personnel du Relay a fermé les rideaux métalliques du magasin de la gare de Belfort ville, ce jeudi vers 15 h 30. Les salariés entendaient exprimer leur ras-le-bol après de nouvelles incivilités.
« Une bonne vingtaine de jeunes, âgés entre 15 et 25 ans, étaient massés devant notre établissement », explique un employé qui tient à garder l’anonymat par crainte de représailles. « Et à mon avis, ils ne faisaient pas que parler, si vous voyez ce que je veux dire. D’autres étaient installés à des tables. Ils effrayaient nos clients. Quand nous leur avons demandé de consommer ou de partir, la tension est montée d’un cran. Nous avons été menacés et insultés. »

« Certains amènent des bouteilles d’alcool qu’ils consomment sur place »

L’employé a appelé le commissariat de police qui a dépêché plusieurs patrouilles. L’une d’elle est repartie avec un Montbéliardais de 29 ans en état d’ébriété.
« Ces attroupements ont tendance à se multiplier depuis deux ans », déplore une employée. « Notamment depuis que la SNCF a coupé le chauffage du hall de la gare, a fait supprimer un banc et a verrouillé les toilettes des quais. Maintenant, des jeunes viennent se chauffer dans la boutique ou s’installent devant l’entrée. Ils ne consomment rien chez nous. Certains arrivent avec leurs bouteilles d’alcool et les consomment sur place. »
Le personnel a constaté que ces squats s’accompagnaient de vols de bonbons ou de friandises, de paquets de cigarettes, de magazines, etc. « Ils se servent dans les rayons comme à la maison et si nous leur faisons une remarque, ils nous insultent ou nous menacent », ajoutent les salariés.
Ceux-ci relèvent aussi les bagarres qui éclatent régulièrement devant la gare. Et ils soupçonnent des ventes de produits illicites.
« Cela ne peut plus durer », soupire une employée. « Nous avons demandé un rendez-vous au maire. Il nous recevra la semaine prochaine. »
En attendant, le commissariat de police a demandé aux employés de la boutique de l’appeler dès que les attroupements se forment.
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