Un homme soupçonné d'avoir provoqué la mort d'une fillette de deux ans, victime du syndrome du bébé secoué, se trouvait jeudi soir en garde à vue en Isère, a-t-on appris auprès du parquet de Vienne.
Présenté comme le compagnon de la mère de la petite victime, l'homme a reconnu "avoir secoué très fortement l'enfant" et doit être présenté vendredi aux magistrats du pôle criminel de Grenoble, a précisé le procureur de la République, confirmant une information du Dauphiné Libéré.
L'entourage de la fillette avait d'abord fait état d'une chute
Agée de deux ans et trois mois, la fillette avait été admise le 8 décembre dans une clinique de Roussillon dans le nord-ouest du département en présentant une importante lésion cérébrale qui a mis l'équipe médicale sur la voie d'une possible maltraitance. Des constatations contraires aux déclarations de proches de l'enfant qui avaient fait état d'une chute. Transportée à l'hôpital mère-enfant de Bron, près de Lyon, elle était décédée le lendemain.
Averti le parquet de Vienne avait ouvert une enquête pour homicide volontaire, confiée aux gendarmes de la brigade de recherches (BR) de Vienne. Des examens et expertises pratiqués sur la défunte ont permis de confirmer les hypothèses du corps médical avant que les militaires ne procèdent mercredi à une série d'interpellations qui ont débouché sur les aveux du suspect en garde à vue
Présenté comme le compagnon de la mère de la petite victime, l'homme a reconnu "avoir secoué très fortement l'enfant" et doit être présenté vendredi aux magistrats du pôle criminel de Grenoble, a précisé le procureur de la République, confirmant une information du Dauphiné Libéré.
L'entourage de la fillette avait d'abord fait état d'une chute
Agée de deux ans et trois mois, la fillette avait été admise le 8 décembre dans une clinique de Roussillon dans le nord-ouest du département en présentant une importante lésion cérébrale qui a mis l'équipe médicale sur la voie d'une possible maltraitance. Des constatations contraires aux déclarations de proches de l'enfant qui avaient fait état d'une chute. Transportée à l'hôpital mère-enfant de Bron, près de Lyon, elle était décédée le lendemain.
Averti le parquet de Vienne avait ouvert une enquête pour homicide volontaire, confiée aux gendarmes de la brigade de recherches (BR) de Vienne. Des examens et expertises pratiqués sur la défunte ont permis de confirmer les hypothèses du corps médical avant que les militaires ne procèdent mercredi à une série d'interpellations qui ont débouché sur les aveux du suspect en garde à vue
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