Le mari d'une jeune Nigériane retrouvée découpée en plusieurs morceaux dans un barrage de Saint-Chamond, dans la Loire, en septembre dernier, a été mis en examen jeudi à Saint-Etienne et écroué, a-t-on appris de source judiciaire.
L'homme, âgé d'une quarantaine d'années, originaire du Sierra Leone, "nie toute implication dans la mort de sa compagne de 28 ans, dont il avait signalé la disparition en février 2014 alors que tous deux vivaient à La Ricamarie (Loire)", a indiqué le parquet de Saint-Etienne confirmant une information du Progrès.
Présenté jeudi à un magistrat qui l'a mis en examen pour homicide volontaire aggravé, avant son placement en détention provisoire, le quadragénaire avait été interpellé et placé en garde à vue mardi dans la région stéphanoise. Père de six enfants nés de différentes unions, il avait été condamné en 2011 pour des violences commises sur sa compagne de l'époque. Une ordonnance de placement de l'enfant de trois ans qu'il a eu avec la victime a été prise par le parquet des mineurs de Saint-Etienne.
L'autopsie du corps coupé en plusieurs morceaux, retrouvé grâce à l'alerte donnée par des promeneurs qui avaient aperçu des sacs poubelle flottant sur le barrage de Soulage, à Saint-Chamond, le 9 septembre, n'avait pas permis l'identification de la victime. Cette dernière n'a pu être réalisée qu'à l'aide de prélèvements ADN, dans le cadre de l'enquête confiée à la police judiciaire.
Le corps en état de décomposition avait, semble-t-il, séjourné plusieurs semaines à l'intérieur de sacs immergés dans ce barrage du massif du Pilat lors de sa découverte. Leur contenu avait été "ramené sur la berge par des sapeurs-pompiers pensant avoir affaire à des restes d'un animal, jusqu'à ce qu'un médecin-légiste envoyé sur place atteste qu'il s'agissait d'un être humain", avait indiqué en septembre une source judiciaire.
L'homme, âgé d'une quarantaine d'années, originaire du Sierra Leone, "nie toute implication dans la mort de sa compagne de 28 ans, dont il avait signalé la disparition en février 2014 alors que tous deux vivaient à La Ricamarie (Loire)", a indiqué le parquet de Saint-Etienne confirmant une information du Progrès.
Présenté jeudi à un magistrat qui l'a mis en examen pour homicide volontaire aggravé, avant son placement en détention provisoire, le quadragénaire avait été interpellé et placé en garde à vue mardi dans la région stéphanoise. Père de six enfants nés de différentes unions, il avait été condamné en 2011 pour des violences commises sur sa compagne de l'époque. Une ordonnance de placement de l'enfant de trois ans qu'il a eu avec la victime a été prise par le parquet des mineurs de Saint-Etienne.
L'autopsie du corps coupé en plusieurs morceaux, retrouvé grâce à l'alerte donnée par des promeneurs qui avaient aperçu des sacs poubelle flottant sur le barrage de Soulage, à Saint-Chamond, le 9 septembre, n'avait pas permis l'identification de la victime. Cette dernière n'a pu être réalisée qu'à l'aide de prélèvements ADN, dans le cadre de l'enquête confiée à la police judiciaire.
Le corps en état de décomposition avait, semble-t-il, séjourné plusieurs semaines à l'intérieur de sacs immergés dans ce barrage du massif du Pilat lors de sa découverte. Leur contenu avait été "ramené sur la berge par des sapeurs-pompiers pensant avoir affaire à des restes d'un animal, jusqu'à ce qu'un médecin-légiste envoyé sur place atteste qu'il s'agissait d'un être humain", avait indiqué en septembre une source judiciaire.
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